4. "Mais arrête-toi !"
Qu'est-ce que je l'ai entendue / je l'entends, cette phrase. "Fais toi arrêter 2 semaines avant, tu y as droit !"
J'y ai droit. Comme si c'était inconcevable de ne pas prendre ce "droit", ces deux semaines de congé supplémentaires. (Rappel : le congé mater débute 6 semaines avant la date présumée d'accouchement, et on a droit à deux semaines de plus si besoin. "SI BESOIN" . Il est aussi possible de prendre ces deux semaines après, donc en plus des 10 semaines de congé mater APRÈS l'accouchement.)
Je ne comprends pas pourquoi tout le monde me dit de me faire arrêter. Déjà, c'est pas trop dans mon caractère de me pointer chez le doc ou chez la sage femme et de dire "bon,, y'a moyen de moyenner deux semaines bonus ?". Ensuite, sans déconner, c'est pas à moi de décider d'un arrêt. Si le personnel médical qui me prend en charge n'estime pas que j'ai besoin d'être arrêtée, ça veut dire que je n'ai pas à l'être. Je n'ai pas fait d'études de médecine ou de gynécologie, c'est pas à moi de demander (exiger?) un arrêt, bordel.
Alors oui, je dois me ménager pour le bébé nanana. Mais EVIDEMMENT que si demain par exemple, je fais un malaise, ou si ma SG me dit "holy shit y'a urgence au lit tout de suite et on bouge plus jusqu'à janvier", j'arrêterai de travailler. Mais tant que tout va bien (globalement), je ne me ferai pas arrêter, putain.
Surtout que je suis très critique vis-à-vis des gens qui s'arrêtent pour rien (coucou ex-collègue de français arrêté 1 semaine tous les mois et qui ralait parce qu'on lui avait envoyé un inspecteur et ô surprise, il n'était pas chez lui !) (Putain de glandeur) (il avait aussi décidé qu'il ne travaillerait pas le vendredi après-midi et faisait sauter des cours sans le dire à personne sauf à ses classes évidemment, profitant d'une vie scolaire totalement dans la merde et de l'absence de tout personnel d'administration le vendredi après-midi...) (bref), du coup, ouais, pitié, ne dites pas à quelqu'un de se faire arrêter si ça fait 15 fois qu'il/elle vous dit gentiment que non ça va, pas besoin. Sérieux. C'est lourd.
(Si demain ma sage femme me dit qu'elle m'arrête j'aurai l'air con du coup...)
J'y ai droit. Comme si c'était inconcevable de ne pas prendre ce "droit", ces deux semaines de congé supplémentaires. (Rappel : le congé mater débute 6 semaines avant la date présumée d'accouchement, et on a droit à deux semaines de plus si besoin. "SI BESOIN" . Il est aussi possible de prendre ces deux semaines après, donc en plus des 10 semaines de congé mater APRÈS l'accouchement.)
Je ne comprends pas pourquoi tout le monde me dit de me faire arrêter. Déjà, c'est pas trop dans mon caractère de me pointer chez le doc ou chez la sage femme et de dire "bon,, y'a moyen de moyenner deux semaines bonus ?". Ensuite, sans déconner, c'est pas à moi de décider d'un arrêt. Si le personnel médical qui me prend en charge n'estime pas que j'ai besoin d'être arrêtée, ça veut dire que je n'ai pas à l'être. Je n'ai pas fait d'études de médecine ou de gynécologie, c'est pas à moi de demander (exiger?) un arrêt, bordel.
Alors oui, je dois me ménager pour le bébé nanana. Mais EVIDEMMENT que si demain par exemple, je fais un malaise, ou si ma SG me dit "holy shit y'a urgence au lit tout de suite et on bouge plus jusqu'à janvier", j'arrêterai de travailler. Mais tant que tout va bien (globalement), je ne me ferai pas arrêter, putain.
Surtout que je suis très critique vis-à-vis des gens qui s'arrêtent pour rien (coucou ex-collègue de français arrêté 1 semaine tous les mois et qui ralait parce qu'on lui avait envoyé un inspecteur et ô surprise, il n'était pas chez lui !) (Putain de glandeur) (il avait aussi décidé qu'il ne travaillerait pas le vendredi après-midi et faisait sauter des cours sans le dire à personne sauf à ses classes évidemment, profitant d'une vie scolaire totalement dans la merde et de l'absence de tout personnel d'administration le vendredi après-midi...) (bref), du coup, ouais, pitié, ne dites pas à quelqu'un de se faire arrêter si ça fait 15 fois qu'il/elle vous dit gentiment que non ça va, pas besoin. Sérieux. C'est lourd.
(Si demain ma sage femme me dit qu'elle m'arrête j'aurai l'air con du coup...)
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